Erevan

par

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Un de nos lecteurs nous a transmis un poème, inspiré par Yerevan d’Ara Gevorgyan (à écouter ci-dessous)

Arménie
Que l’on chante
Arménie
Celle qui enchante
Notre défense

En pays
En ou hors Erevan
Est avis
De faire acte
De toute résistance

Nous sommes Erevan
Tout juste en passant
Allons vers l’avant
Vers l’avenant

Pas besoin de riant
Pour nous faire allant
De sauver notre aimant
Notre patrie vers le levant

Nous sommes échappés
Je vous le dis
De formes exterminés
Il s’en dit

Nos cœurs
Sont les plus solides
Méme sans rancœurs
Méme les sordides

Il suffit de bons danseurs
Pour faire d’une terre bonheur
Et que s’ouvre enfin
Not’ terre en un festin

Quand la terre arménienne
Ne gêne nulle gestuelle
Il ne faut que mienne
Dire que c’est d’elle

Que vaut ma conscience
Sous le rappel de cet’ femme-là
Qui me rappele à bon escient
Qu’elle compte à mes yeux-là

C’est pas l’Azerbaïdjan
Qui effacera nos ans
Sur cette terre de nos ancêtres
Sans qui n’y a pas lieu d’être

Méme si la Turquie
À failli volé nos vies
Nos vies volent en survie
L’histoire est notre envie

Une histoire ancienne
Se mêlent à nos esprits
Qu’on soit fidèle
À qui on doit nos vies

Que vaut ma conscience
Sous le rappel de cet’ femme-là
Qui me rappele à bon escient
Qu’elle compte à mes yeux-là

C’est pas l’Azerbaïdjan
Qui effacera nos ans
Sur cette terre de nos ancêtres
Sans qui n’y a pas lieu d’être

Il suffit de bons danseurs
Pour faire d’une terre bonheur
Et que s’ouvre enfin
Not’ terre en un festin

Quand la terre arménienne
Ne gêne nulle gestuelle
Il ne faut que mienne
Dire que c’est d’elle

Nous sommes Erevan
Tout juste en passant
Allons vers l’avant
Vers l’avenant

Pas besoin de riant
Pour nous faire allant
De sauver notre aimant
Notre patrie vers le levant

Que vaut ma conscience
Sous le rappel de cet’ femme-là
Qui me rappele à bon escient
Qu’elle compte à mes yeux-là

C’est pas l’Azerbaïdjan
Qui effacera nos ans
Sur cette terre de nos ancêtres
Sans qui n’y a pas lieu d’être

Interlude

Nous sommes Erevan
Tout juste en passant
Allons vers l’avant
Vers l’avenant

Pas besoin de riant
Pour nous faire allant
De sauver notre aimant
Notre patrie vers le levant

Nous sommes échappés
Je vous le dis
De formes exterminés
Il s’en dit

Nos cœurs
Sont les plus solides
Méme sans rancœurs
Méme les sordides

Nous sommes Erevan
Tout juste en passant
Allons vers l’avant
Vers l’avenant

Pas besoin de riant
Pour nous faire allant
De sauver notre aimant

Notre patrie vers le levant

Daniel BAUCE

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